Seul

Je marchait d'un pas sec dans le cayons, avançant le regard fixe, déterminé. Aucune joie ne regnait en moi, et cela depuis longtemps. Seul le pouvoir, l'envie de vaincre, réganait, brûlait en moi. Et celle de tuer, de dominer... Je ne regardait que devant moi, pas un regard sur le coté, encore moins en arrière. Jamis, jamais un regard en arrière. Toujour en avant... Et j'avançait, dans la longue fissure que creusait la cayon. Sans envie... J'entendait le tonnerre qui grondait au dessus de moi. Je me mit au trot, dans une allure longue, la tête relevée. La pluis arrivat, d'abors goutellette. A présent, il tombait des corde, le tonnerre grondait. Mais pour moi, aucune importance : j'avançais, toujours plus loin, la haine de vaincre qui s'accroissait à chaques foulées.

Il vit une jument s'approcher de lui. Aussi tôt, il stopa net, et s'appuya sur ses posterieurs, prêt à se carbrer, prêt à se battre. Elle fesait une bonne trentaine de centimètre au moin de plus que lui, et connaissait bien mieux les terres alentours, pourtant, elle ne lui faisait absolument pas peur. Ce n'était pas elle qui allait lui faire obstacle, même si ils devait se battre à mort. Il attendit, sans trahir aucun de ses sentiment, que la jument approche, pour voir de quelle genre elle était.

Il regarda la jument. Il fut particulièrement choquer à l'idée de la voir sourir. qu'avait t'elle ? Qu'est qui lui prenait ? A la voir réagir comme ça, la première envie qu'il eu, était de s'approcher d'elle et de lui règle son compte, à cette pimbêche. Mais ses muscles était comme paralysés. Il ne fit pas un mouvement, mais la colère se voyait clairement dans ses yeux.

Un étalon marchait, l'encolure arquée vers l'avant, la tête vers le bas
mais à hauteur de son garrot, sa gorge et sa gouttiére jugulaire pleine
de croutes. Il marchait, repassant en vue tous ses crimes,
puisque en ce moment il se combattait contre Moon,
un combat trés acharné, bien qu'elle ne lui fasse pas peur.
Certes elle connaissait les techniques, mais surement pas aussi bien
que lui. Et si elle le tuait, même parce qu'elle était prise par sa Lune,
même si c'était Free qu'elle tuait, le lendemain elle regretterait son acte,
c'était certain.

Plus loin devant lui il aperçut Tropical, ce qui ne fit que lui rappeler
un peu plus de détails lors de son combat. Oui elle était,
oui elle le regardait. Il accélera le pas et se retrouva à coté d'elle,
marchant en frolant ses côtes, prés à la jeter dans le trou
si elle tentait ou disait quelque chose de mal à son gout.
Et, bien qu'elle ne soit pas si sotte que sa, il ne regretterait pas.

[J'amenerais peut-être Princess aprés!]

Je vit un étalon s'approcher, rejoindre la jument que me fixait. Il ne m'avait même pas remarquer. Mais moi, si. Et c'était à présent lui que je regardait dans les yeux. La pluie continuait de tomber, bien qu'auparavant elle c'était calmée, et là, recommençais à tomber en corde. Mais aucune importance... Ses yeux regardrent l'étalon, puis la jument. Puis l'étalon, puis la jument. Et il se posat une question : Qui étaient-ils ?

Il regardat la scène. Puis il vit la jument le fixer. Il soutint son regard. Elle était stressée, il le sentait. Qui était-ce l'étalon ? Que venait-il faire là ? Il fixat cet inconnu et sentit dans son regard un étalon aussi hargneux que lui. Il avait certainement beaucoup de points communs. Mais il se posait une question : était-ce son ennemis ou sont amis ? s'inpatientant de son long silence, il frappat le sol de son sabot. Le bruit sourd qu'il avait produit fit un echo qui se répandit dans toute la falaise. Il eu un mouvement de tête et, fixant les deux chevaux qui était façe à lui, il dit, d'une voix claire et déteriminée :

" Alors ? "

Bonjour, pensat-il. Bonjour. Elle lui avait dit bonjour, comme si de rien était. mais à quoi tout cela remait-il ? Non, lui, il ne dirait pas bonjour. Ils n'était pas à la bonne franquette.Lui, il voulait des expliquation. Il re frappat le sol, visiblement en colère. Il s'approchat de la jument, et la fixat plus intensément que jamais. Ses naseau n'était plus qu'a une trentaine de centimètre des sien. Alors, il demanda, d'une voix grave mais claire :

" Qui est tu au juste ? "

Je plaquat mes oreilles contre ma nuques. Sa réponse ne m'avait pas plus, pas de tout.

" Non mais ho, tu te prend pour qui là ? C'est quoi ton problème ? Pourquoi ne veut tu pas me dire qui tu es ? Ca te gêne, ou c'est " privé " ? "

Je répondit cela avec haine et colère. Mais c'était vrai : Qu'avait-elle avec ses petit sentiment ? Pourquoi ne voulait pas me dire qui elle était ? Je montrat mes dents, prêt à mordre.

" Tropical, dit il... Joli nom. Mais que fait tu ici, au juste ? Ce n'ait pas tout de savoir ton nom, mais j'aimerais bien savoir à quelqe genre de cheval j'ai affaire..."

Cette fois si, il avait pointé les oreille en avant, certe pas parce qu'il était content, mais parce qu'il avait obten une partie de se qu'il voulait savoir, et qu'il réfléchissait à beaucoup de chose.

- De quoi parler vous ? dit Dark d'un air irité. Si je vous gène, dit le tout de suite, je me irait, et vous pourrer vous raconter vos potints tranquillement...
Il regarda tour à tour la jument et l'étalon, attendant avec impatiente de voir se qu'il allait répondre.
- Interessant... Dominante des comettes. Et bien, je m'exuse d'avoir vexée ma " chef de troupeau " dit t'il sur le ton faussé d'un gentleman. Et oui, je suis de la harde des Comettes.

Il vit que l'étalon et la jument parlait ensemble, en le mettant à l'écart. Il vit aussi que l'étalon n'était plus sur de lui. Mais il vit aussi qu'il n'avait plus rien à faire ici. Il avait eu se qu'il voulait. Alors, pourquoi perdre son temps ? Il fit demi-tour, et s'en alla au galop, la queue en panache.